L'oraison, prière intérieure

 

ecoles d'oraison

 

 

 

P. Jausions

 

• M. l'abbé Yves Jausions, qui a créé la coordination des Écoles d'oraison
Liens vers des sites amis

Les Écoles d'oraison ne constituent pas actuellement une association déclarée, ni civilement ni religieusement. Il s'agit d'une association de fait, regroupant des Écoles historiquement interdépendantes, qui souhaitent se soutenir mutuellement et œuvrer à l'apostolat de la prière par l'enseignement de l'oraison.

 

Nous pouvons continuer notre recherche spirituelle en allant sur le site http://www.puiseralasource.org

Nous y trouverons diverses pages : Lectures bibliques et homélies du jour avec des propositions pour une "lecture sainte", des réflexions pour aider au ressourcement spirituel, prière, sacrements, témoignages vidéo, une homélie pour dimanche prochain, des éléments pour la prière à Marie (Rosaire) et... pourquoi pas, une page d'humour.

Ce site est jumelé au blog http://dimancheprochain.org

 

Il y a quelques années, l'Abbé Yves JAUSIONS, prêtre du diocèse de Rennes et disciple du Père Caffarel, également créateur de ce site, m'avait demandé de le rendre assez proche de l'enseignement du père Caffarel.

Un site : " Les Amis du Père Caffarel " s'est créé et en accord avec eux, nous établissons un lien avec ce site :

http://www.henri-caffarel.org/

 
Hozanah.org

Site de prière HOZANAH.org

Hozana souhaite rendre plus concrète l’union des chrétiens au travers de la communion des saints, en leur permettant de se rassembler autour d’intentions de prière partagées
Pour Internet, on parle de « la toile », c’est-à-dire ce réseau qui unit entre elles des milliers de personnes connectées ensemble. Cette réalité paraît assez récente : aussi récente que l’apparition du net lui-même.
Saviez-vous, en fait, que la première « toile » est très ancienne ? Son inventeur s’appelle : Dieu. Mais Il lui a donné un autre nom : « la communion des saints » ! Un immense réseau capable de relier entre eux des milliards de gens, et même d’unir ceux du Ciel et ceux de la terre, sans qu’il n’y ait jamais saturation de réseau, ni de pannes de satellites. Cela fonctionne sans câbles et sans ondes, mais par la prière. Les messages qui circulent ne s’entendent pas avec les oreilles, ne se lisent pas avec les yeux, mais arrivent au cœur. Beaucoup plus qu’un lien, la prière établit une véritable communion entre ses membres.

 

Notre Dame de vie. Vénasque
Père Marie Eugène de l' E.F
www.notredamedevie.org

Le Père Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus

ROME, lundi 19 décembre 2011 (ZENIT.org) - La reconnaissance par Benoît XVI, ce 19 décembre, des " vertus héroïques " du P. Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (au siècle : Henri Grialou, 1894-1967), carme déchaux, fondateur de l'Institut Notre-Dame de Vie et auteur de la somme spirituelle et théologique qu'est " Je veux voir Dieu ", constitue un pas important vers sa béatification.

En effet, il pourrait être béatifié si un miracle dû à son intercession était maintenant reconnu.

En 2010, le P. Louis Menvielle, vice-postulateur de la cause de béatification, a présenté le P. Marie-Eugène aux lecteurs de Zénith, ainsi que l'Institut Notre-Dame de Vie et " Je veux voir Dieu " (cf. Zénith du 9 mars 2010).

Voici comment le P. Menvielle résumait la biographie du P. Marie-Eugène :

 

C'est un carme déchaux français de la première moitié du 20ème siècle (1894-1967). Henri Grialou (c'est son nom séculier) est né dans un modeste foyer de mineur de l'Aveyron, dans le centre de la France. Saisi par Dieu depuis qu'il est tout petit, il désire être prêtre. Au petit séminaire, il découvre la petite sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus. Nous sommes en 1908, il a 13 ans : il reste définitivement marqué par cette amitié surnaturelle qui influera sur sa vie et sur sa mission. Un père carme écrira de lui qu'il est un des meilleurs spécialistes de la petite Thérèse.

Au grand séminaire, il découvre saint Jean de la Croix et se sent fortement saisi par le réformateur carme espagnol du 16ème siècle : il comprend qu'il est appelé à marcher à sa suite et à lui ressembler. Sur son lit de mort, il avouera : " Au fond de mon âme, c'est avec saint Jean de la Croix que je vis ".

C'est ainsi qu'il entre au noviciat des carmes dès son ordination sacerdotale, en février 1922. Il apprend à connaître Thérèse d'Avila, la grande réformatrice du carmel, et trouve en elle la mère des spirituels qu'il décrit : " ardente et lumineuse..., sublime et équilibrée, une âme royale, maternelle et divine, le génie humain en ce qu'il a de plus concret et de plus universel " (Je veux voir Dieu, p. 443). Dès le noviciat, il fait de très hautes expériences mystiques qui marqueront toute sa vie.

1923, 1925, 1926, c'est la période de la béatification et de la canonisation de Thérèse de Lisieux, puis de la proclamation de Jean de la Croix comme Docteur de l'Église. Notre jeune carme (28-31 ans) prêche beaucoup en divers milieux français et perçoit partout, en particulier chez les laïcs, une soif spirituelle qui trouve une réponse adaptée dans l'enseignement du carmel. Il comprend alors que sa mission est de " conduire les âmes à Dieu " et de les former à l'union de la contemplation et de l'action en leur montrant le chemin de l'oraison et de la vie dans l'Esprit.

1929, quelques jeunes femmes qui veulent se donner à Dieu lui demandent de les guider. Elles réalisent peu à peu la pensée qu'il avait de former un groupe où l'on unirait action et contemplation en plein monde pour porter Dieu là où les hommes ne le connaissent pas. Le don du sanctuaire de Notre-Dame de Vie, en Provence (Venasque), lui permet d'y commencer son œuvre. L'Institut Notre-Dame est né (1932).

1937 : le Père Marie-Eugène est élu conseiller général des carmes à Rome et le restera 17 ans. A la mort du père général, il dirige l'ordre pendant dix huit mois, jusqu'au chapitre de 1955. C'est pendant cette période romaine que Pie XII le nomme visiteur apostolique des carmels de France et lui demande de les unir en fédération. Travailleur infatigable, il trouve aussi le temps de publier en deux tomes son maître ouvrage : Je veux voir Dieu (1949 et 1951).

En 1955, il rentre en France où il pourra s'occuper de plus près de sa fondation sans oublier sa province carmélitaine d'Avignon puisqu'il exerce son troisième mandat de provincial des carmes lorsqu'il meurt, le 27 mars 1967.

Propos recueillis par Anita S. Bourdin

(lien établi avec l'autorisation du Père E. Michelin)

 

A Paris des sessions d'écoles d'oraison pour les jeunes sont organisés par les Carmes de Paris.

Etudiants et jeunes professionnels chez les Carmes

http://www.carmes-paris.org/?s=oraison

 contact:

Fr. Jean-Alexandre Couvent des Carmes 6 rue Jean Ferrandi 75006 Paris

http://www.carmes-paris.org

 

" Voici un lien avec l'Institut Jean de la Croix qui propose une formation à la vie spirituelle à distance :"

www.institutjeandelacroix.org

René

 
P.Huguenin

École d’oraison du P. HUGUENIN

École d’oraison mensuelle animée par le P. Marie-Joseph Huguenin à ND du Silence, Sion (Suisse), chaque dernier lundi du mois de 19h30 à 21h15 (enseignement, pratique de l’oraison et échange sur le vécu de la soirée). Info et contact sur communion.ch. L’école d’oraison est suivie par une vingtaine de personnes. Les enseignements peuvent être écoutés sur communion.ch, ce qui permet une communion à distance. 

Le Père Huguenin donne des cours de spiritualité à l’université de Fribourg. Il a écrit un ouvrage de spiritualité :

P. Marie-Joseph Huguenin, « L’oraison selon Thérèse d’Avila et Jean de la Croix », EDB 2017, 3e édition, 320 p.